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Getaway ~ un peu de géographieThe Alaskan Getaway :: Bienvenue à Getaway :: Règlement & Contexte
 
Mairie de GetawayCompte Fondateur
# Getaway ~ un peu de géographieVen 9 Juin 2023 - 23:26

Getaway

un peu de geographie



Où se trouve Getaway ?
Getaway se situe sur une île mineure de l’archipel Alexandre, un ensemble de plus de 1 100 îles s’étirant sur près de 500 km du Nord au Sud, situé au Sud de Juneau et au large de la Colombie-Britannique, en Alaska, au Nord-Ouest des Etats-Unis d’Amérique.


De profonds canaux et fjords séparent les îles du continent et parfois les unes des autres. L’accès est souvent impossible autrement que par bateau ou par les airs. L’archipel est la partie Nord du Passage Intérieur reliant Juneau à la baie de Seattle, un couloir de chemins maritimes très important pour les indigènes et les mineurs au 19e siècle et au début du 20e siècle.


A quoi ça ressemble ?
La plupart des îles sont les sommets de petites montagnes sous-marines perçant la surface de l’eau et sont inhabitées, caractérisées par des falaises côtières, des forêts sauvages et une faune préservée et abondante. La majorité fait partie de la forêt nationale de Tongass.


L’activité économique se résume largement à la pêche, à la mine et au commerce du bois, mais la préservation des îles a également rendu le tourisme important pour la région.
La relance de l'activité minière et pétrolière à travers l'Etat n'a pas encore touché les environs.



Qui vit là-bas ?
Les plus grandes îles habitées sont souvent elles aussi bien préservées, et un grand nombre de petites villes et de villages ont été abandonnés après que les Russes et les Américains en aient exploité les ressources minières au 19e siècle.


En-dehors de quelques faubourgs de Juneau, sur l’île Douglas, au Nord, les principales agglomérations, Ketchikan et Sitka, font moins de 10 000 habitants chacune. Les communautés indigènes luttent, ici comme ailleurs, entre assimilation et exclusion.



Qu'en est-il de Getaway ?
La communauté s’est installée sur le site d’une ancienne communauté abandonnée, sur une île habitable et libre au centre de l’archipel, dans le secteur entre Sitka, Petersburg et Wrangell. Le climat y est agréable mais l’hiver très enneigé, pour le bonheur des adeptes de luge et de traineau.


Il restait une poignée d’habitants dispersés sur l’île, dont une petite société de foresterie et un garde-chasse.


Pour plus de détails sur l’organisation de Getaway, voir Getaway ~ la communauté.


Le climat à Getaway
Les îles sont globalement plus tempérées et moins froides que le continent, mais Getaway est tournée vers les terres. Des masses d’air froid venues des pôles descendent donc plus facilement jusqu’à la communauté à l’approche de l’hiver.


Le temps hivernal est très froid, avec du vent glacé, des averses verglaçantes et de belles chutes de neige à attendre dès octobre. A cette période, le mercure descend déjà à -5°C.


L’été est néanmoins très agréable, les températures allant de 15 à 20°C au maximum. Oui, ces températures peuvent vous sembler basses, mais après un hiver très froid, et dans un environnement très humide, 20°C se font sentir comme 30°C ailleurs.

Le changement climatique se fait sentir ici comme ailleurs et, si la région subit des effets modérés par rapport au reste de l’Etat, les températures estivales peuvent aujourd’hui grimper de 5°C au-dessus des normales en moyenne.
Bonne nouvelle ? Non : l’hiver se fait aussi plus rude, d’autant que son arrivée tend à reculer vers le milieu ou fin-octobre avec une transition beaucoup moins progressive et des intempéries plus violentes et plus denses.



En moyenne, il y a un peu moins d’un jour sur trois ensoleillé dans cette partie de l’Alaska. Attendez-vous à un temps couvert ou pluvieux, voire orageux en été, deux jours sur trois. Que ça vous encourage à vous réfugier sous les couvertures au coin du feu !


Je veux tout savoir !
L’archipel fait partie de la région de l’Alaska du Sud-Est. Ses quelques 71 000 habitants représentent environ 10% de la population de l’Alaska, répartie sur une vaste façade maritime.
La densité est très faible et si la population augmente, il y a seulement 9 communautés dépassant 1 000 habitants dans toute la région.


Les peuples indigènes sont, par ordre de population, les Tlingit, les Haida et les Tsimshian. Les Tlingit sont les plus caractéristiques en raison de leur nombre et du choix de leur culture lors de la création du parc de Sitka. Contrairement aux autres peuples indigènes de l’Etat, ils font partie du groupe culturel s’étendant au Sud vers Vancouver et Seattle.



En plus de la faible densité de population, la région est très préservée, comprenant la forêt nationale de Tongass, le parc national de Glacier Bay et le parc national historique de Sitka. Le Passage Intérieur et quantité d’îles non-incluses dans ces parcs sont également des sites naturels protégés.


Cette protection fait de la région, et de l’archipel Alexandre en particulier, une zone très propice aux espèces sauvages, dont des rennes et les cerfs endémiques sitka, des ours bruns et des grizzlys, mais aussi des baleines à bosse et des orques, plusieurs sous-espèces de saumons, des aigles chauves et plusieurs espèces de canards et de palmipèdes.



Si l’Etat est globalement marqué par un climat subarctique ou polaire, les îles sont en outre affectées par un climat plus agréable, océanique froid, et les chutes de neige sont plus tardives, et moins denses à mesure qu’on voyage au Sud.


L’économie s’oriente depuis plus d’un siècle et demi autour de la pêche, de la mine et du commerce du bois. Mais la mondialisation a fait du mal au marché américain sur place, la région étant parfois jugée difficile à exploiter en plus du coût de la main-d'œuvre. La précarité socio-économique se répercute sur la politique, et l’Alaska est un État très républicain et conservateur, où l’inviolabilité des parcs protégés est régulièrement remise en question. L’importance croissante du tourisme, grâce à ses étendues préservées, contrebalance cependant les intérêts des compagnies.


Difficile à exploiter, la région est aussi difficile à pratiquer. Peu de communautés sont connectées à l’extérieur par la route et Alaska Airlines dessert une multitude d’aérodromes depuis Juneau et Ketchikan. Des taxis aériens, par petits porteurs, hydravions et hélicoptères, sont aussi légion pour atteindre les petits communautés ne bénéficiant parfois même pas d’une piste. L’essentiel du transport maritime entre Juneau et l’île du Prince de Galles est assuré par Alaska Marine Highway mais, là aussi, quantité de ferrys privés et taxis maritimes font la desserte vers les plus petites communautés.



Les noms des îles et villes témoignent d’une histoire complexe. Explorée par les Russes, les Espagnols, les Britanniques et les Américains, la région a d’abord été colonisée par la Russie, avant d’être vendue aux Etats-Unis en 1867 avec le reste de l’Alaska. La frontière faisait cependant toujours l’objet d’une dispute entre Canada et Etats-Unis, rendant la colonisation déjà difficile de la côte de la Colombie-Britannique encore un peu plus compliquée. La côte est finalement revenue aux Etats-Unis, créant à la fois une vieille rancune entre Canadiens et Américains, mais aussi entre Canadiens et Britanniques. Quant à la population, une forte émigration a vidé la région d’une bonne partie de ses Russes à la fin du 19e siècle, avant que les techniques minières rendent à nouveau les filons miniers exploitables et ramènent une population plus anglo-saxonne, mais de vieux patronymes d’origine russe persistent, en plus de petites villes comme Petersburg ou Wrangell.






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